L’an passé, quelques fougueux irrévérencieux prenaient la route à l’appel de l’équipe de Bars en Trans. Leurs objectifs ? Chroniquer, critiquer (oh la mauvaise foi…) et profiter d’une parenthèse de 52 heures désormais bien connue en France.
Cette année, ils seront plus nombreux et plus foufous et mettent les bouchées doubles pour cartographier Bars en Trans. Chacune et chacun son petit programme marqué de petites croix pour ne rien rater. Du plateau rap au 1988 Live Club, des Married Monk que tout le monde veut voir jusqu’aux balafres technoïdes des filles d’Oktober Lieber, il y en aura pour tout le monde.
Parce qu’on est professionnels et peut-être parce qu’on aime bien rigoler, on a augmenté l’équipe pour cette fois : articles, reports, photos, illustrations… et menues surprises. Bah oui, on dit pas tout et ne vous en faites pas : vous saurez sans doute pas que c’est nous mais on se croisera.
A jeudi.