Tu vas avoir un pass pour tous les concerts : Vermeilleux ! Alors je vais partir à 18h, j’irai au Bar’Hic, ensuite pouf pouf La Place. 4 concerts en 4h. Une organisation de maître, je ne vous dis que ça. 22h Resto. 23h ça repart. Minuit au Dejazey (pour une fois que j’ai une excuse pour y aller …). Galette-saucisse à Papu et l’affaire est dans le sac. Les bains de foule, je les ai eus ! Les jets de bières, c’est fait ! Il ne manquait pas grand chose : juste quelques notes supplémentaires au Dejazey…
18h : Pot rue Papu. Vin rouge et gourmandises. Je pars avec une heure de retard au bar. Mais hé malin, Las Aves repassent plus tard dans la soirée. J’ai le cœur léger et la conscience apaisée.
19h30 : Bar’Hic. Vide. Entre deux concerts. Petit Loupé. Je garde la face et je file à La Place. Vide. Entre deux concerts. Bière? Bière.
21h : Je reprends le dessus : Las Aves au Bar’Hic. Ça remue des cheveux. Ça saute en sneakers. Et franchement ça a de la gueule. On aime la voix cristalline de la chanteuse. On essaiera discrètement demain de l’imiter, seule devant sa glace.
21h30 : Radio Elvis. C’est beau, pour les yeux, pour les oreilles. On est littéralement bercé.
La suite ne sera plus reportée chronologiquement : aucune cohérence, des passages furtifs dans quelques bars et des ratés, oui des ratés. Mais toujours des inattendus (il y avait quand mêmes des gars déguisés en marsupulami au Ty Anna), de la bière et de l’ambiance. Ashkabad, du Dub, c’est très adapté à une fin de soirée. Ça remue et ça envoie. Fin de soirée? Nooon, bien sûr que non. Je finirai ma soirée au Deja. Alors pour le coup ça ressemblait bien à une fin de soirée. Une arrivée après la bataille très maîtrisée. Deux notes et des gens qui sortent. Mais on a demandé aux gens ce qu’ils en avaient pensé et tous, sans réserve, ont adhéré. Alors j’ose le dire : Two Bunnies in Love c’est de la bombe !